Mon Parcours dans l'Immobilier

Bientôt, à 27 ans, j'ai commencé le 1er mai 1990, après le verglas qu'on a eu au Québec. J'ai commencé à 32. D'ailleurs, mon père était courtier immobilier avant moi. J'ai appris d'un bon courtier immobilier aussi, candidat d'arrivée. J'ai toujours été dans la vente, depuis que je suis petit là.

J'ai commencé, j'étais un ancien distributeur, un ancien boulangeur de parenthèse. Fait que, t'sais, j'ai toujours été dans la vente. Mon père était boulanger, après c'est devenu courtier. Moi, j'ai fait le même cheminement. Ça me drève encore, c'est encore ça en dedans de moi.

Il y a des maisons que j'ai vendues trois fois. La dernière fois que ça m'est arrivé, c'était en 2024. Il y a une maison sur Nathalie-André que j'ai vendue trois fois, là où je suis pratique. Je pense que je l'ai déjà vendue 115 000-80 000. Puis la dernière fois, je l'ai vendue... Je crois que 115 000, dans la mémoire.

On est parti d'un marché, 98-99, qui évoluait tranquillement, allait jusqu'aux attentats. À partir des attentats, ça a eu une grosse tangente. Mais depuis la COVID, bien là, c'est l'autre chose.

Je dois être rendu à 1 500 propriétés vendues. Quand je rencontre des gens que je ne connais pas, je trouve ça le fun aussi. Parce que ça arrive de temps en temps que je rencontre des gens, des nouveaux clients, entre parenthèses, que je ne connais pas. Puis je connais avec les gens, tu sais. Des fois, c'est des gens de mon âge. Des fois, c'est des gens qui sont plus jeunes que moi.

Puis on s'adapte aussi avec les nouvelles technologies, puis les textos, puis les images de PC, puis ça. Parce que quand tu fais affaire avec un jeune couple, entre parenthèses, qui ont 30 ans, bien, c'est plus textos, e-mails. Le gars, il se prend à sa maison en vente qu'il a 60 ans. Il aime ça que tu lui téléphones, tu comprends? Faut s'adapter, tout simplement.