Un peu avant les attentats, le marché n'était vraiment pas pareil à ce qu’on vit aujourd’hui. Avant les attentats, c'était un marché d'acheteurs. Quand il y a eu les attentats à New York, les institutions financières, pour motiver l'économie, si je me rappelle bien, parce qu’on avait peur de tomber en guerre et tout ça, ils avaient descendu les taux d'intérêt.
À partir de ce moment-là, les prix des maisons ont commencé à monter, si ma mémoire est bonne. Dans notre coin ici, c'était 5-7 % par année. Des fois, on vendait une maison, on inscrivait une maison, on la vendait 125 000. La semaine d'après, on inscrivait une autre maison, pas mal comparable, on la mettait à 135 000, puis elle se vendait pareil. On voyait évoluer le marché d'année en année, de mois en mois. Les attentats, c'était en 2001. Mais de 2001 jusqu'à la pandémie, on a vu évoluer le marché dans le coin ici.
Ça a grossi aussi à travers tout ça. La Valtry, qui était un village anciennement de 3 500-4 000 personnes, là maintenant, je pense qu’on est entre 16 000-17 000. Ça a beaucoup bougé. Je connais le marché, je connais les environs, le secteur. Je connais l'évolution de la municipalité comme telle. Les nouveaux quartiers qui sont arrivés, les infrastructures qui ont été implantées, les commerces qui sont arrivés à travers tout ça. J'ai vu ça grossir avec la terre.
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